Professeur libre ; sans moyens réguliers d’existence ; indicateur de police sous le Second Empire.
En 1867, il assistait, chez Chouteau et Las, aux réunions du groupement de tendances blanquistes dénommé « Commune révolutionnaire des ouvriers français ». Arrêté avec les membres du groupe qu’il avait dénoncés, il fut condamné, le 23 décembre 1867, par la 6e chambre du tribunal correctionnel de la Seine, à un an de prison. Transféré de Mazas à l’hôpital Saint-Antoine, il s’en évada le jour même et passa en Belgique.
Voir Chouteau H.