Né le 22 janvier 1820 à Ranzières (Meuse) ; puisatier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, sans enfant. Il avait subi deux condamnations pour outrages publics à la pudeur et pour vol.
Il fut condamné, le 9 janvier 1872, par le 8e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels. Il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Amnistié en 1879, il rentra par la Picardie.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/836, BB 27 et H colonies 83. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.