Né le 6 mars 1854 à Paris ; garçon maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Garde, pendant la Commune de Paris, au 185e bataillon fédéré, il fut accusé de participation à l’exécution des dominicains d’Arcueil, le jeudi 25 mai 1871, et condamné, le 16 janvier 1872, par le 15e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Sa peine fut commuée en résidence obligatoire en Nouvelle-Calédonie (1878), puis remise. Il rentra par la Vire.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.