Communard
Garde national au 144e bataillon fédéré ; blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua — ou à sa veuve ? — une pension annuelle de 600 F comme « victime de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de la pension avait été versé. Le 8 mai, Gretz avait reçu 30 F au titre de secours en argent aux blessés. Voir Abadie.
SOURCES : J.O. Commune, 21 mai 1871. — Murailles... 1871, op. cit., p. 540.