Sympathisant de la Commune de Paris à Besançon
Rédacteur du Doubs, 6, rue Neuve à Besançon, J. Gros (et non J. Groy) écrivait le 4 avril 1870 à Verdure, collaborateur de La Marseillaise, pour lui demander à être mis en relations avec une association d’ouvriers tailleurs de pierre au cas où il en existerait une à Paris et cela afin de pouvoir documenter des ouvriers bisontins désireux de fonder une association analogue. (Voir La Marseillaise.)
En avril 1871, il fut dénoncé comme étant l’auteur de la brochure anonyme Lettre aux électeurs bisontins, qui contenait « à la fois des attaques contre l’Assemblée nationale (...) et l’exposé d’un programme que la Commune n’eût pas désavoué. »
SOURCE : Michel Cordillot, La Naissance du mouvement ouvrier à Besançon, Besançon/Paris, 1990.