Né le 10 mars 1825 à Paris ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était veuf, sans enfant. Il avoua avoir fait quinze jours de prison pour abus de confiance et un mois pour ivresse.
Garde, sous la Commune de Paris, au 258e bataillon fédéré, il fut arrêté le 27 mai 1871 en tenue rue d’Allemagne (XIXe arr.). Il fut condamné, le 18 avril 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il rentra par le Var.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/836. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Notes de Louis Bretonnière.