Né le 3 mai 1852 à Orléans (Loiret) ; chaînier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il fut condamné, le 13 mai 1872, par le 7e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 4 mai 1873. Il fut rejoint à l’île des Pins par sa femme et un enfant. Sa peine fut commuée, en 1878, en résidence obligatoire en Nouvelle-Calédonie et remise en 1879 ; il rentra par la Picardie.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés (le nom est parfois orthographié Honier). — Note de Louis Bretonnière.