Né le 19 mars 1821 à Narbonne (Aude) ; employé de commerce ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Marié, il avait abandonné à Narbonne femme et enfants ; il avait en outre été condamné, en 1859, à Alger, à trois mois de prison pour vente de vins falsifiés.
Il fut condamné, le 26 mars 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Puis, il fut amnistié en 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/831. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.