HUMBERT Juste, Gabriel

Il était célibataire. Il avait été condamné, le 29 mars 1862, à huit jours de prison pour coups, et le 7 août 1867 à trois mois pour outrage public à la pudeur.
Engagé, le 30 décembre 1870, pour la durée de la guerre au 112e régiment de ligne, il fut licencié le 23 mars 1871, rentra à Paris le 27 et se laissa incorporer dans un bataillon de chasseurs fédérés. Il fut fait prisonnier à Passy dans la nuit du 21 au 22 mai près du couvent de l’Assomption (XVIe arr.).
Le 16e conseil de guerre le condamna, le 26 mars 1872, à cinq ans de détention ; le 11 novembre 1875, il obtint une remise d’un an.