Né le 16 juin 1849 à La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Garde au 130e bataillon fédéré en 1871, il fut condamné, le 6 janvier 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il rentra par la Loire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/831. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.