Ouvrière de Lyon ; probablement adhérente de l’AIT.
Elle signa avec Virginie Barbet et beaucoup d’autres femmes une adresse de caractère révolutionnaire et socialiste aux femmes des grévistes du Creusot, en avril 1870 (cf. Testut, L’Internationale, pp. 92-94). Voir Virginie Barbet.
Vraisemblablement, elle faisait partie de l’Internationale.