Né le 31 mars 1837 à Paris ; fondeur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il avait subi deux condamnations pour injures envers un garde particulier et pour tapage nocturne. Les renseignements sur sa conduite et sa moralité étaient passables.
Le 6 avril 1871, il entra comme simple garde au 91e bataillon fédéré. Il fut condamné, le 30 mars 1872, par le 24e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Le 15 janvier 1879, il obtint la remise de sa peine et rentra par le Var.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/839. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.