Né le 24 novembre 1844 à Périgueux (Dordogne) ; cylindreur (ou forgeron ?) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Garde au 178e bataillon durant la Commune de Paris, il fut condamné, le 12 décembre 1871, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 23 septembre 1875. Amnistié, il rentra par le Var.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.