Né le 11 novembre 1844 à Paris ; bijoutier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. On l’arrêta le 5 juin 1871 avec sa concubine « qui le suivait partout en tenue de fédérée et en armes ».
Condamné, le 8 octobre 1871, par le 16e conseil de guerre à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Il vit sa peine commuée en huit ans de détention en 1877, et il regagna la France par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/835. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.