Sculpteur de Narbonne (Aude), il prit part aux mouvements révolutionnaires de 1871.
Il fut un des 54 « proscrits de la Commune » qui signèrent l’adresse Au citoyen Garibaldi, 4 p. imprimées, Genève, 27 janvier 1875 (Arch. Claris IFHS).
Après l’amnistie, il vécut à Paris et appartint à la Société fraternelle des anciens combattants de la Commune fondée en 1889.
SOURCE : L. Descaves, Philémon..., op. cit., pp. 304, 334.