Né le 24 février à Boissey (Calvados) ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Garde, sous la Commune de Paris, au 177e bataillon fédéré, il fut condamné, le 4 janvier 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.