Né le 17 juillet 1809 à Paris ; corroyeur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était veuf, père d’un fils. Garde, sous la Commune de Paris, au 185e bataillon fédéré, il fut condamné, le 9 mars 1872, par le 15e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée, en 1877, pour raison de santé, en six ans de détention ; il rentra par le Tage cette même année.
SOURCES : Arch. Nat., BB 27. — Note de Louis Bretonnière.