Né le 1er décembre 1835 à Sainte-Honorine-du-Fay (Calvados) ; garçon de bureau ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, sans enfant ; ancien militaire, Capitaine en 1871, sous la Commune de Paris, au 222e bataillon fédéré, il fut condamné, le 5 mars 1875, par le 3e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 30 janvier 1876. Sa peine fut commuée en cinq ans de détention en 1878, puis remise en 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/814. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.