Militant actif, il avait déjà été arrêté à Paris et emprisonné pour son action dans les ateliers. En 1867, il fut de nouveau inquiété à Lyon comme meneur, mais il s’enfuit. Installé à Saint-Étienne (Loire), comme maître-cordier, il garda ses relations avec ses camarades de Lyon ; il était étroitement surveillé par la police.
SOURCE : Arch. Dép. Loire, 92 M 14.