LIGER Michel, Arsène

Il était célibataire. Ancien soldat du 8e régiment de chasseurs à cheval, il fut réformé en 1867, avec un certificat de bonne conduite.
Pendant le Siège et la Commune de Paris, il fit partie de la 3e compagnie sédentaire du 132e bataillon de la Garde nationale composé d’habitants de Levallois-Perret.
Arrêté, le 5 février 1872, pour insultes envers des officiers, il fut condamné à trois mois de prison, puis, le 12 juillet 1872, par le 3e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 28 septembre 1873. Le 15 janvier 1879, il obtint remise du reste de sa peine.