Né le 20 janvier 1850 à Sète (Hérault) ; tonnelier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Soldat au 109e régiment de ligne, il était passé en 1871 dans l’artillerie fédérée.
Condamné, le 7 mai 1872, par le 2e conseil de guerre à la déportation dans une enceinte fortifiée, il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Il fut amnistié et ramené par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/831. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.