Né le 7 mars 1832 à Paris ; garçon de magasin ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Ancien militaire ; il avait été condamné à Metz (Moselle), par le 3e conseil de guerre, pour fraude chez l’habitant.
Garde, sous la Commune de Paris, au 239e bataillon fédéré, il fut condamné, le 9 avril 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Amnistié, il rentra par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/831. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.