Ouvrier imprimeur sur étoffes sous le Second Empire ; adhérent de l’AIT.
En 1867, Adolphe Malidor était membre du Conseil de la Société de crédit mutuel des ouvriers imprimeurs sur étoffes. Il cosigna à ce titre l’appel à la solidarité lancée par cette dernière lorsque les principaux employeurs de cette branche se coalisèrent pour la briser. (Voir Émile Haroud). Il habitait, 10, rue Foireau, à Saint-Denis (Seine).
En septembre 1870, il faisait partie du bureau de la Chambre syndicale des ouvriers imprimeurs sur étoffe adhérente de l’Internationale. (cf. Dict., t. IV, p. 74).
SOURCE : Eugène Tartaret, Commission ouvrière de 1867. Recueil des procès-verbaux des assemblées générales des délégués et des membres des bureaux électoraux, Paris, Imp. Augros, 1868, X-320 p. — Notes de R. Skoutelsky.