Né le 28 mars 1837 à Paris ; fondeur en fer ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était veuf, sans enfant. Il avoua avoir été condamné à deux mois de prison pour outrages publics à la pudeur ; son casier judiciaire avait été incendié. Il était ivrogne.
Il fut condamné, le 15 avril 1872, par le 9e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels et, plus tard, amnistié. Il était arrivé à Nouméa le 5 novembre 1872.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/840. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.