MARCHAL François, Théobald

Il était célibataire ; il était dit marié et journalier. D’après un extrait du casier central, du 5 février 1879, il avait été condamné, le 7 mars 1860, à Paris, à huit jours de prison pour outrages aux agents ; le 17 février 1870, à Paris, à deux mois de prison pour vagabondage, et le 7 mai 1870, à Paris toujours, à deux mois de prison pour vagabondage.
Il fut condamné le 2 mai 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels. Il arriva à Nouméa le 9 février 1873, puis fut amnistié en 1879.