Né le 27 mars 1852 à la Graverie (Calvados) ; garçon crémier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il fut, sous la Commune de Paris, garde aux francs-tireurs de Montrouge, et condamné, le 31 mai 1872, par le 19e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée en sept ans de détention (1877), puis remise (1878) ; il était rentré en 1877 par la Loire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/828 et BB 27. — Note de Louis Bretonnière.