Né le 7 décembre 1835 à Houilles (Seine-et-Oise) ; ancien militaire ; monteur en bronze ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il avait été condamné en 1863 à un mois de prison pour vagabondage.
Garde, sous la Commune de Paris, au 167e bataillon fédéré, il fut condamné, le 6 janvier 1874, par le 4e conseil de guerre, à la déportation simple ; en 1873, il avait été condamné à quinze jours de prison pour coups et vol. Il arriva à Nouméa le 9 août 1874, puis fut amnistié en 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/842 et BB 27. — Note de Louis Bretonnière.