Né le 21 octobre 1844 à Versailles (Seine-et-Oise) ; graveur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Célibataire, il avait deux enfants de sa concubine. Lieutenant en 1871, à la batterie de la Xe légion, il fut condamné par contumace, le 21 novembre 1873, par le 3e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée, puis contradictoirement, le 27 juillet 1874, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 6 janvier 1877. Amnistié, il rentra par le Var.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/809. — Arch. PPo., listes de contumaces et listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.