Né le 2 mars 1840 à Rouen (Seine-Inférieure) ; journalier (ou employé ?) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il fit des dettes à Châtellerault (Vienne) où il travaillait, et, pour les rembourser, commit des indélicatesses. « Par égards pour sa famille on ne l’a pas poursuivi pour détournements de fonds. »
Il fut condamné, le 30 avril 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple, pour faits insurrectionnels, puis amnistié. Il était arrivé à Nouméa le 9 février 1873.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/840. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.