Né le 23 février 1843 à Grosbliederstroff (Moselle) ; ébéniste, ancien militaire ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Garde, sous la Commune de Paris, au 130e bataillon fédéré, il fut condamné, le 11 avril 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il fut ramené par la Picardie.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.