Né le 11 octobre 1847 à Raizeux (Seine-et-Oise) ; maçon ; communard.
Il était le fils de Stanislas Mercier — Voir ce nom. Chef du 184e bataillon fédéré, sous la Commune de Paris, il fut condamné par contumace le 30 décembre 1872, par le 9e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il fut amnistié en 1879.
SOURCES : Arch. Min. Guerre, 9e conseil (n° 677). — Arch. PPo., listes de contumaces.