Né en 1834 à Paris ; gainier ; communard, officier de la Garde nationale.
Il était marié, père d’un enfant.
Capitaine, sous la Commune de Paris, au 89e bataillon fédéré, il fut condamné par contumace, le 23 août 1872, par le 17e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée.
Mercier purgea sa contumace et, le 15 septembre 1876, il fut condamné à la déportation simple, peine commuée la même année en dix ans de détention. Merci était à Belle-Ile au début de 1877 et sa peine lui fut remise en 1878.
SOURCES : Arch. Nat, BB 27. — Arch. PPo., listes de contumaces.