Né le 15 décembre 1851 à Vaucouleurs (Meuse) ; manœuvre ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire ; il avait été condamné deux fois à la prison pour vol : en 1866, à quatre mois ; en 1869, à un mois.
Garde, sous la Commune de Paris, au 148e bataillon fédéré, il fut condamné, le 12 octobre 1871, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Sa peine fut commuée en 1878 en résidence obligatoire en Nouvelle-Calédonie et remise en 1879.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.