Né le 27 septembre 1827 à Soissons (Aisne) ; demeurant à Paris, avenue d’Ivry (XIIIe arr.) ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, sans enfant. Sergent, sous la Commune de Paris, au 120e bataillon de la Garde nationale, il fut condamné, le 29 avril 1872, par le 5e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 28 septembre 1873.
Il obtint remise de sa peine le 4 janvier 1878 ; l’obligation de résidence fut levée le 31 décembre 1878, et il rentra par la Vire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/777 et BB 27. — Note de Louis Bretonnière.