Né le 17 août 1852 à Preuilly-sur-Claise, (Indre-et Loire) ; boulanger ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était « fils d’un Prussien et d’une mère française » ; célibataire.
Il fut condamné, le 25 avril 1872, par le 8e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Sa peine fut commuée, en 1877, en résidence obligatoire en Nouvelle-Calédonie, puis remise, et il rentra par la Seudre.
SOURCES : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.