MONTROBERT Casimir

Il était marié, sans enfant. Il fit partie de la 7e compagnie sédentaire du 35e bataillon de la Garde nationale, pendant le 1er Siège, et continua son service après le 18 mars 1871.
Il avoua avoir subi une condamnation à 24 heures de prison pour tapages injurieux et coups portés à sa sœur. Il fut condamné, le 26 septembre 1871, par le 4e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée et à la privation des droits civiques ; peine commuée le 25 juin 1877 en déportation simple ; il fut bien noté en déportation ; sa femme était venue le rejoindre à Nouméa en octobre 1878 ; il obtint remise de sa condamnation le 15 janvier 1879 et rentra par la Picardie.