Ouvrier bourrelier ; militant de l’Internationale ; communard.
Ancien combattant de la Commune de Paris, délégué du 91e bataillon fédéré, il parvint à gagner Londres au lendemain de la Semaine sanglante.
Membre de la section fédéraliste française de 1871 de l’AIT, il se disait ex-secrétaire correspondant de la section des Batignolles.
Franc-maçon, il fut affilié à la loge révolutionnaire « la Fédération » fondée par Vésinier et Landeck en mai 1872.
Il y a vraisemblablement identité avec Louis Moreau.
SOURCE : André Combes, « Les Philadelphes et autres loges de Communards... ", Chroniques d’histoire maçonnique n° 35, 1985. — Notes de M. Cordillot.