MUTIN Ferdinand

Communard, officier de la Garde nationale.

Marié, père d’un enfant ; il signait Mutin F., signature accompagnée des trois points maçonniques — Voir Thirifocq E. D’après une lettre datée 26 octobre 1872, de son père, typographe au Courrier de France et demeurant, 83, rue de Turenne, à Paris, IIIe arr., il avait été en 1871 capitaine au 160e bataillon fédéré, et fut condamné, le 20 février 1872, par le 16e conseil de guerre, à un an de prison.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article66965, notice MUTIN Ferdinand, version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 19 mars 2020.

SOURCE : Arch. Nat., BB 24/787.

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