Communard
Marié, père de trois enfants. Dans une lettre du condamné au garde des Sceaux datée du 1er octobre 1872 et écrite à Mazas, il affirmait avoir « toujours eu les révolutions en horreur ». Il avait des principes d’ordre et des sentiments religieux.
Pour avoir travaillé à l’enregistrement du 18 avril au 20 mai 1871, il avait été condamné, le 30 juillet 1872, par la 7e chambre du tribunal correctionnel de Paris, à huit mois de prison et était détenu depuis le 5 juin 1872 ; sa femme était devenue folle.
SOURCE : Arch. Nat., BB 24/775, n° 10170.