Né le 23 janvier 1834 à Ritzing (Lorraine) ; journalier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. « Ivrogne, ayant abandonné à la charité publique son père âgé de quatre-vingts ans » ; « a subi trois condamnations pour vols et vagabondage ». Il fut condamné, le 17 mai 1872, par le 17e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/840. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.