Né le 17 octobre 1830 à La Flèche (Sarthe) ; ouvrier filassier ; communard.
Garde, en 1871, au 268e bataillon fédéré et fait prisonnier le 1er mai, il fut condamné, le 8 mars 1872, par le 16e conseil de guerre, à cinq ans de détention.
Veuf, Joseph Odio n’avait pas d’enfants.
SOURCE : Arch. Nat., BB 24/807.