Par Notice complétée par Marianne Enckell
Sage-femme à Lyon ; militante de l’AIT.
Elle était mariée à un tailleur du nom de Barret et fut la mère de Narcisse Barret et de trois autres enfants. Après le décès de celui-ci en 1856, elle épousa en secondes noces le militant de l’Internationale Louis Palix ; elle était membre elle-même de l’Internationale.
Avec Virginie Barbet et beaucoup d’autres femmes, elle signa une adresse de caractère révolutionnaire et socialiste aux femmes des grévistes du Creusot, en avril 1870. (cf. Testut, l’Internationale, pp. 92-94).
Par Notice complétée par Marianne Enckell
SOURCE : Arch. Mun. Lyon I 2/55, pièce 69. — Narcisse Barret, Nouméa aller et retour, Périnet libraire-éditeur, 1880 (Gallica).