Né le 21 mars 1855 à Saint-Mandé (Seine) ; serrurier ; jeune communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il avoua avoir subi une condamnation à trois mois de prison pour vagabondage.
Il fut condamné le 6 mai 1872, par le 25e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels. Il fut autorisé à résider à Nouméa, puis réintégré à l’île des Pins le 17 novembre 1874 pour inconduite ; amnistié, il rentra par la Picardie.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/840. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.