Né le 2 février 1840 à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne) ; polisseur sur métaux ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
« On ignore s’il est marié ». Garde au 157e bataillon fédéré, il fut condamné le 2 mai 1872, par le 4e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/835. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.