Né le 25 avril 1845 à Villerou-le-Bois [?] (Haute-Saône) ; cordonnier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. Il avait subi, du 22 janvier 1863 à mars 1868, neuf condamnations variant de deux à six mois de prison : la première condamnation, au moins, l’était pour vol (six mois de prison).
Condamné, le 25 janvier 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple pour faits insurrectionnels, Perrinot arriva à Nouméa le 25 septembre 1872. Il rentra par la Loire après l’amnistie.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/835, S 77, n° 2393 et BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.