Né le 8 novembre 1838 à Boussac (Creuse) ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Joseph Perrot était célibataire. Il fut condamné le 27 avril 1872, par le 22e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée pour faits insurrectionnels. Il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié en 1879, il rentra par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/831. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Moniteur de la Nouvelle-Calédonie. Journal officiel paraissant tous les mercredis. Supplément au n° 1022, 25 avril 1849, p. 100. — Note de Louis Bretonnière.