Militant de l’AIT à Limoges
Charles Fredon, chirurgien, écrivait en novembre 1870 au journal La Défense républicaine qu’attaché à la compagnie de francs-tireurs les Amis de Paris, il n’avait encore rien reçu, malgré une dépêche annonçant au capitaine Lebloys l’envoi au sous-préfet de Vendôme (Loir-et-Cher) d’un sac d’ambulance, trois brassards, un drapeau d’ambulance et trois cartes de l’Internationale pour lui être remis. Il ne pouvait plus, écrivait-il, assurer son service avec son propre argent et demandait que l’on avisât le Comité de Défense nationale, Petit, membre délégué de l’Internationale à Limoges (Haute-Vienne), et le préfet de la Haute-Vienne.