Né à Blanzat (Puy-de-Dôme) le 3 août 1832 ; demeurant à Paris, 79, rue de Paris, XIIIe arr. ; ouvrier serrurier ; communard.
Capitaine au 38e bataillon de la Garde nationale pendant la Commune de Paris, il fut condamné par contumace, par le 4e conseil de guerre, le 23 septembre 1873, à la déportation dans une enceinte fortifiée.
Antérieurement, le 31 mars 1858, le conseil de guerre de Metz l’avait condamné à deux mois de prison pour bris volontaire d’arme appartenant à l’État.
Était-il affilié à l’Internationale ? À cette question les auteurs du rapport ont répondu par un point d’interrogation.
Il vécut réfugié à Bruxelles et fut gracié le 24 mars 1879.
Il était marié, sans enfant.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/860 B, n° 3883. — Arch. Nat., BB 27 (le nom est orthographié Peudeprot). — Arch. PPo., listes de contumaces : Pendeprat Marien.