Né le 3 mars 1831 à Vernon (Eure) — en avril dit sa femme ; demeurant à Gentilly ; carrier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était marié, père d’un enfant. Il avait subi deux condamnations, avant 1870, pour outrages et rébellion.
Sergent, en 1871, dans un bataillon fédéré, il fut condamné, le 28 février 1872, par le 8e conseil de guerre, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il rentra par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/791, BB 24/811, et BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.