Né à Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse) ; scieur de pierre ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était célibataire. En 1871, il était garde au 217e bataillon fédéré. Condamné, le 2 avril 1872, par le 4e conseil de guerre, à la déportation simple, il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Il obtint la remise de sa peine en 1879 et rentra par le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/837 et H colonies 95. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.